L’ère du
dopage généralisé est révolue. Il n’y a plus de performances inhumaines. Même
les plus grands sceptiques comme le chroniqueur Antoine Vayer le disent :
il n’y a plus de « mutants » en cyclisme. Pourtant dans les Pyrénées,
Froome a ravivé la flamme du doute. La question a surgi : se
dope-t-il ? Le cyclisme n’était-il pas censé avoir changé ?